L'Enfant de l'étranger (A.M. G.TRADUCT) - Tapa blanda

« C est chose rare de lire un roman et d être convaincu qu il figurera parmi les meilleurs de l année, mais plus rare encore d être persuadé que sa valeur sera confirmée par les décennies à venir. » --The Times

« Ecrivain culte outre-Manche, Alan Hollinghurst écrit peu, mais cette parcimonie lui sied. Comme elle convient à ses lecteurs, qui ont coutume de ranger ses romans dans le saint des saints de leur bibliothèque, sur l étagère dédiée aux livres les plus précieux, les plus chéris... L Enfant de l étranger qui embrasse à sa façon un siècle d histoire de l Angleterre est son meilleur livre. » --Télérama

« Un roman-fleuve aux multiples époques et influences... Une superbe réflexion, éminemment romanesque, sur la fabrique d un mythe littéraire à travers l histoire. » --Les Inrocktuptibles

« Elle fut déconcertée par la voix de Cecil, une voix qui parut s'approprier très vite et très résolument leur jardin, leur maison et le week-end à venir, une voix nerveuse, prompte, semblait-il, à proclamer qu'elle se moquait de qui l'entendait, une voix dont les intonations étaient teintées en outre d'un brin de moquerie et de la certitude de sa supériorité. »

Tout commence en 1913, dans le jardin d'une maison de campagne anglaise, lorsque le timide George Sawle invite pour le week-end son camarade de Cambridge : l'aristocratique, énigmatique et capricieux Cecil Valance. Ces jours dans la maison familiale et le poème qu'ils inspirent à Cecil vont changer leur destin. Et plus encore celui de Daphné, la jeune soeur de George. En ce printemps où rien n'annonce encore les proches bouleversements de l'Histoire, un pacte se noue secrètement entre ces trois personnages, point de départ d'une fresque saisissante à travers le siècle et les vestiges du temps, par l'un des plus grands romanciers anglais contemporains, Alan Hollinghurst, lauréat du Booker Prize en 2005 pour La Ligne de beauté.
« Hollinghurst mérite incontestablement la place du meilleur romancier anglais contemporain. Éblouissant. » The Guardian